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La pensée n'est pas à sens unique,elle sert à comprendre…à se comprendre. Little Boats.(2) Prends moi,emmène moi là où les souvenirs se perdent. Là où mes faiblesses deviennent mon unique armure. Deux trois pièces en poches,et quelques cailloux ,témoins du chemin que j’aurai parcouru. Sur les plages encore sauvages, des mers chaudes des Antilles. S’enivrer de couleurs locales, Vivre à paupières close,au rythme de ces tam-tam, ces hanches gracieuses,mais robustes,qui se mêle à la foule. Les épaules frêles, tannées par le soleil. Les lèvres douces,iodées malgré elles. Allons-y,là où l’été sera éternel,où les étoiles elles aussi n’ont qu’une envie,c’est de rentrer dans la danse. À cette distance,difficile d’ignorer l’attirance honteuse qu’on éprouvent pour ces étrangers, contre qui nos corps en souffrance se cognent,se laisse à partager,ces plaisirs interdits. Pas un mot,plus un bruit. Le silence est notre tempo,éclairant les décibels de nos envies. Les mains se serrent,les bises se multiplient comme un bonjour ou un bonsoir, notre salut un énième au-revoir. A nos pieds les vagues se taisent. Au loin le soleil se lève, Baisers acres,le regard fuyant Des petits gestes soucieux,et des sourires coincé, Ivre de nos ébats,de notre insouciance,on s’en remet alors aux dieux, à l’âme charitable qui osera nous déranger. Ce n’étais qu’un envie,l’étincelle de nos doutes. Et pourtant c’est comme si, Comme si on en avait rêver,toute une vie. On assiste « une fois » à la naissance de ses rêves. Et,on y prend gout,comme si c’était ça’ vivre sans remords,sans envie. Sans emprise. Liley loves you…♥ He said he'd always find me,if I just Believed he would. 26 avril, 2013 à 1 h 33 min | Commentaires (1) | Permalien Little boats. Take me where the memories are lost. Where my weaknesses becomes my only freedom. Wild webs building up in our pockets, and some stones, witnesses of the way we came. Wild beaches, warm seas of the Caribbean. Get drunk local custom Breathing through the rhythm of the drum, these gracious but sturdy hips, mingling among the crowd. Frail shoulders, tanned by the arrogant sun. The soft lips, blistered from the sea. Lets just go, where summer is eternal, where the stars crave our moonlight dance. From up here,it’s hard to ignore the shameful attraction we feel for these foreigners, Suffering bodies left to share these forbidden pleasures. Not a word, not a sound. Silence is our tempo, enlightening the voices of our desires. Hands shake, fluent kisses,nor a hello nor a goodbye, our salvation an umpteenth farewell. At our feet the waves got silent. Afar the sun rises, Bitter kisses, shifty eyes Anxious gestures, and wedged smiles. Hooked from our enjoyed frolics, sunrise reveals our innocence Leaving it up to the gods, the charitable souls daring to disturb us. It was just a desire, the spark of our doubts. And yet it is as if, as if we went ahead of our imagination As if we’d been dreaming,hoping it would turn out this way for ages. Skipping chapters. Right on this shore we’d bury the roots of our wildest dreams. Dangerous,shameless lives, Cheers to living with no remorse,no envy. No Grace. Liley loves you…♥ Maybe tonight i'll call ya,after my blood turns into alcohol. 26 avril, 2013 à 0 h 47 min | Commentaires (0) | Permalien Early bird. Mes parents me disaient toujours…tu comprendras quand tu seras plus grande. Ils ont juste oublié de m’expliquer la différence entre…plus grande et…trop tard. Lorsque tout va mal les grands nous disent qu’avec le temps tout s’arrange…et puis on s’habitue…On s’habitue à ce que tout s’écroule du jour au lendemain. Plus rien n’a d’importance, la vie suit son cours, et au final tout n’est que pitoyable amnésie de ce qu’on aurait du apprendre de nos souffrances. Que voulons-nous de plus…Le chaos lui n’oublie jamais. Et…je me réconforte en me disant que t’as eu aussi mal que moi. Que malgré tout tes efforts pour essayer de me frôler sans prêter attention,au parfum que je porte, je le sais bien…je t’ai regardé de loin… mais lorsque ce sourire disparaît c’est à mes larmes que tu penses…du moins je l’espère. Folie, Amour comment ne pas en souffrir lorsque les deux se rejoignent. Et je t’en veux…j’t’en veux tellement si tu savais. Et tout chez lui me fait tant penser à toi…ses yeux, sa bouche…son odeur. Toutes ces choses que le temps à pris soin d’effacer de ma mémoire. Et toi…Toi t’es bien plus malin que le temps… un mot doux laissé dans mon agenda, un message que je n’ai jusque là jamais eu le courage d’effacer. J’ai longtemps cru en l’auto guérison…comme si une fleur qui se fane pouvait prétendre à un léger souffle de vie si seulement celle-ci acceptait de lâcher prise. Et Dans ma tête malgré mes belles paroles, je le sais bien que je ne serais probablement, jamais « guérie ». La souffrance est la seule chose qui me rattache à ce monde,le mien certes, mais se serait tellement facile de s’éteindre,sans une preuve de notre existence tourmentée. Alors je revis,dans la peine comme dans mes joies,chaque instant chaque minute…encore et encore. Je ne sais pas prétendre, je ne n’ai jamais su comment m’en défaire…et comment te dire que même si je l’avais su…je n’aurais jamais oser L’oublie. On a tous tellement peur d’oublier…évènements sans importance…dates d’anniversaires et j’en passe, c’est un cercle sans vice, une histoire avec une fin. Un cadeau qui s’envole à paupières close. Liley loves you …♥ #I died for u a long time ago. I lied when I said I had gotten over you…truth is I never even tried to get over myself. To begin with ♥ 19 février, 2013 à 3 h 48 min | Commentaires (2) | Permalien Like it was the first time. Baisers empoisonnés. Brûlures et poussière de désespoir J’y ai cru Je l’ai tant voulu Tous ces mensonges…ces paroles qui sans cesse résonnent En vain je les aie tatouées…à l’encre la plus pure que je possède. Une épave à la dérive. Perdu là où s’amarre mes souvenirs. Assise au bord du vide Les mains au ciel…la tête dans les nuages Regarde ma belle, c’est un monde sans étoiles qui s’offre à toi Et dire que je l’ai toujours su Une idiote je vous dis…car lorsque le temps posera ses marques sur mon visage Lorsque je n’aurais ni le courage ni la force pour affronter ton regard J’irais m’assoire sur ce rivage Je laisserais le sable se mêler dans mes cheveux Le soleil me brûlera le visage la mer agitée, viendra me lécher les pieds. Et alors que cette brise qui souffle menace de me faire chavirer J’aimerais imaginer que ce n’est que ton souffle à l’arrière de ma nuque… …tes caresses innocentes sur la courbure de mes reins Je me laisserai à imaginer tout cela et bien plus encore. Sans doute pour me libérer…cesser ce combat…faire taire ces petites voix…me souvenir d’un temps…où je me serais fait mal…comme si… comme si c ‘était la première fois. Liley loves you..♥ As my memory rest...but never forgets...what i've lost.♥ 5 décembre, 2012 à 2 h 27 min | Commentaires (2) | Permalien In the end. Petite alcoolique assise au bar… ressasse…souvenirs amers…sentiments refoulés. Petite conne incomprise, Larmes d’été. Elle s’éteint toute seule au fond de son verre…vide. Un peu lucide…un brin bourrée. Pourvue qu’elle s’y noie. Pourvue qu’elle y reste. En voilà un autre… Serveuse exaspérée…minuit passé. En voilà un autre. Petite mélancolique assise au bar Lueur d’espoir derrière sa façade. Paroles muettes…yeux embués lumière tamisée…le beau monde se casse en deuil malgré elle,le beau monde s’en fout. Enterre sa peine sous toute cette mélasse. Car on s’attache malgré nous…à toutes ces merdes… aux premières impressions, aux choses qui perdent de l’importance…avec le temps.. tout ce beau monde…ces étrangers intimes… qui nous frôlent et puent le désespoir. Ceux qui nous sourient…comme un bonjour, et crèvent…en silence. On les matent..on s’écartent..à chaque instant. Avec le temps…ce dernier verre… cette première clope…juste une cicatrice de plus. nous rappellent,non pas toutes les fois où nos ailes ont cramés… mais le courage malgré la pluie… l